Il y a quelques années, un soir, mon fils est revenu est une jolie
feuille expliquant 8 ou 9 différentes façons d’écrire le son “è” [ε]. Je
me suis rendu compte qu’il en manquait beaucoup.
Les exemples qui me sont venus à l’esprit:
Depuis deux siècles et demi, imposer la connaissance du latin et du grec pour pouvoir écrire correctement le français permettait de reconnaître le bon grain du bas peuple.
Maintenant, imposer la connaissance du latin et du grec pour pouvoir écrire correctement le français est un handicap insurmontable à la diffusion de notre belle langue.
Je n’entrevoie que quelques avenirs possibles à l’échelle du siècle: